Blanc, Définitions de type de document – Apple Final Cut Pro 6 Manuel d'utilisation

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Partie II

Échange de projets

Blanc

Les blancs dans un document incluent les espaces multiples, les caractères de tabulation,
les retours chariot, les caractères de saut de ligne, etc. Un analyseur XML lit et traite les
balises XML d’un document, mais ignore les blancs. Pour un analyseur XML, il n’y a pas
de différence entre

<clip><name>Coffee house wide shot</name><reel>17</reel></clip>

et

<clip>

<name>Plan large sur un café</name>
<reel>17</reel>

</clip>

Les blancs sont autorisés afin que vous puissiez rendre le fichier XML plus lisible,
sans affecter la structure ou la signification fondamentale.

Définitions de type de document

Avant de créer un document XML, vous devez définir les règles de votre document :
quels sont les éléments (balises) qui peuvent exister, quels éléments contiennent d’autres
éléments, quels éléments sont facultatifs ou obligatoires, quels sont les attributs de
chaque élément, etc. Vous définissez les règles d’un document XML dans une définition
de type de document
ou DTD. Chaque langage avec balises comporte une DTD, afin que
les analyseurs sachent comment vérifier la structure des documents. Sans DTD, il est
impossible pour l’analyseur de valider un document XML. Tous les
documents XML ont besoin d’une DTD.

Si vous utilisez un langage prédéfini, tel que HTML ou le format d’échange XML
Final Cut Pro, la DTD a déjà été créée. Il vous suffit de suivre les règles de la DTD pour
créer du code XML Final Cut Pro valide.

Utilisation de code XML créé dans différentes applications

Les documents XML peuvent être utilisés pour représenter presque n’importe quel type
d’information. Contrairement aux langages tels que HTML, le langage XML ne comporte
pas d’éléments prédéfinis. XML n’est pas un format unique ; il est plutôt utilisé pour
créer des langages avec balises spécifiques, basés sur le langage XML. Le fait qu’une
application prenne en charge le langage XML ne signifie pas qu’elle peut reconnaître
n’importe quel type de document XML. Par exemple, une application de base de
données peut utiliser un format XML avec des éléments tels que <row>, <column> et
<subtotal>, tandis qu’une application graphique peut stocker les informations dans des
éléments tels que <layer>, <shape> et <color>. Bien que les deux documents soient au
format XML, ils sont incompatibles, car leurs définitions de type de document sont tota-
lement différentes.

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